Basket/NBA L’énorme colère des Lakers

La franchise de LeBron James n’a absolument pas dirigé le contact sur le “King” lors de la dernière pénétraction du quatrième quart-temps face aux Celtics.

« De la connerie », quelque chose d’ « inacceptable » pour Anthony Davis, « ridicule » pour LeBron James… Les Lakers ne manquent pas de qualificatifs pour décrire la toute fin du temps réglementaire de leur déplacement à Boston. À 105 partout et 4 Secondes à jouer, LeBron tente une percée et a l’occasion d’offrir la victoire a son équipe. Mais, Jason Tatum intervient en touchant le bras gauche du numéro 6 de Los Angeles. LeBron a d’abord excédé sa colère sur les arbitres puis a finit les genoux et la tête sur le parquet. Les Celtics l’emporte en prolongation sur le score de 125-121

Les officiels ont manqué le coup de sifflet. « Il y a eu un contact. À ce moment du match, durant la partie, nous n’avons pas vu la faute. Les trois arbitres ont raté l’action », a d’ailleurs reconnu Eric Lewis, l’arbitre en chef de la rencontre. Pas vraiment de quoi consoler les Californiens, à commencer par le principal intéressé. « C’est l’un des meilleurs matchs qu’on ait joué de toute l’année. Et le fait d’échouer sur le jugement ou non-jugement d’un tiers est ridicule», regrette LeBron James. « Je ne comprends pas, je ne comprends pas ce qui se passe. Je regarde le basket, des matchs tous les jours et je vois que ça n’arrive pas aux autres. C’est tout simplement étrange. »

« Je ne veux pas voir de nouveau rapport. Ils peuvent l’économiser. Ça ne fait du bien à personne », « Le meilleur joueur de la planète n’arrive pas à obtenir un coup de sifflet, c’est incroyable. Même si on essaie de ne pas mettre ça sur le dos de l’arbitrage, c’est de plus en plus difficile. Oui, il y a un tas de choses qu’on aurait pu mieux faire, et c’est malheureux que le match se termine sur une telle action. On ne demande pas de favoritisme, juste de la constance », réclame Darvin Ham.

De son côté, Jayson Tatum, tout sourire et les bras levés pour mieux clamer son innocence, fait semblant d’avoir perdu la mémoire : « Les deux dernières minutes et la prolongation étaient floues. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé. Je dois regarder les images, tout s’est passé si vite. »

Mathis FIQUET

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